Souvenir De Jeunesse 5 : Vacances Au Camping
Nous nous sommes connus, nous étions étudiants. Martine avait 19 ans, moi 22.
Martine, est un petit modèle, très ta, petits seins ronds, bouts très sensibles, petit cul rebondi.
Je me suis très vite aperçu que Martine aimait se montrer nue, un peu exhibitionniste, ce qui satisfaisait mon naturel voyeur. Je nétais pas dun naturel jaloux, plutôt possessif, mais prêt à tout découvrir avec elle.
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Ces vacances, nous les avons réellement vécues ainsi. Jy ai rajouté quelques fantasmes. Les lecteurs devront faire la différence entre notre vécu et mon imaginaire.
Avant de partir en vacances avec nos amis étudiants, jai accompagné Martine dans une boutique de lingerie pour acheter un maillot de bain. (Voir Souvenir de jeunesse - 4)
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Au mois de juillet, direction le camping de Ronce Les Bains. La côte sauvage nest pas loin, longue plage de sable le long de la forêt. Avec Martine, nous descendons de Paris en voiture, prévoyant une petite halte pour enfin pouvoir passer une nuit complète ensemble.
Au camping, il y a la tente des filles elles sont trois et une plus petite, que je partage avec mon ami Jean. Notre temps se passe entre la plage, la mer, les balades et les petits restos de fruits de mer.
Martine a pu étrenner son maillot de bain que nous avions acheté ensemble. La vendeuse avait raison, en sortant de leau, les parties blanches mouillées laissaient apercevoir un téton et un peu sa toison brune. Martine se contorsionne afin que personne ne sen aperçoive, mais tout le monde le remarque, Jean le premier qui na pas les yeux dans la poche. Beaucoup de femmes sont seins nus, mais aucune des filles de notre groupe nose. Martine a un peu rougi lorsque je le lui ai suggéré (elle le fera delle-même quelques années plus tard avec beaucoup de bonheur).
Ce sont nos premières vacances à deux, presque en couple.
Une autre copine vient se joindre à nous pour quelques jours. La tente des filles étant trop petite, je propose que ma future épouse vienne avec nous dans la tente des garçons. Bien sûr on se fait chambrer, remarques pleines de sous-entendus.
Le soir venu, nous sommes un peu gênés, Jean le premier. Martine sinstalle entre nous, mais elle a prévu un pyjama et son sac de couchage quelle va bien fermer. Il fait nuit ; la lune éclaire notre tente. Jean nous tourne le dos pour ne pas déranger.
Nous nosons pas nous toucher. Je regarde Martine dans les yeux, jy lis la même envie que moi. Ne pas faire de bruit, je lembrasse et la caresse doucement, ce nest pas facile. Jouvre un peu nos sacs de couchage, passe une main. Un bruit, Jean vient de se retourner ; il ne bouge pas, les yeux fermés, dort-il ou fait-il semblant ? Nous nosons plus bouger attentif au moindre signe. Sa respiration est régulière, cest certain il dort. Sa présence nous excite, jouvre le pyjama de Martine, Jean ne peut rien voir, elle lui tourne le dos. On sembrasse, je lui tète les seins, ses tétons sont plus durs, signe de son excitation. Je la couche sur le dos, lui ouvre en grand son haut de pyjama, et continue de lui caresser la poitrine, ses seins sont à quelques cm de la tête de Jean, je jurerais quil cligne des yeux, voir sans se faire voir. Tout en lui embrassant les seins, ma main descend dans le sac de couchage, jécarte lélastique du pyjama, et atteins sa toison humide. Un doigt sinfiltre entre ses lèvres, je lui titille le clito, elle aime, sa poitrine se gonfle, sa respiration saccélère ; je frotte mon sexe contre sa cuisse. Elle se mord les lèvres, et sans bruit, elle jouit entre mes bras, en même temps que jinonde mon pyjama. Jean a-t-il vu quelque chose ? Il doit bien se douter
Toujours blottis lun contre lautre, le sommeil nous enveloppe de son silence réparateur.
Dans la nuit, je me réveille, Martine dort et même ronfle, ça me fait sourire.
« Martine est sur le dos, pyjama ouvert, poitrine découverte. Avec surprise, je vois la main de Jean sur ses seins, il la caresse doucement, lui frôle les pointes. Martine a les yeux à moitié ouverts, elle semble apprécier cette caresse inattendue. Je réalise, le choc me réveille complètement ; je ne bouge pas, je ne dis rien, je fais semblant de dormir. Je cligne juste les yeux pour voir sans me faire voir.
À côté de moi, ma fiancée, sans bouger se laisse faire. Elle nest plus dans son sac de couchage, Jean lui a enlevé son pantalon, elle est nue. Exposée au regard de notre ami qui sest légèrement soulevé pour mieux la regarder. Il lui suce le bout des seins, une main part explorer plus bas, lui caresse le ventre, elle écarte les jambes pour lui faciliter laccès à son intimité.
Il a aussi enlevé son caleçon, je vois sa queue dressée, ombre chinoise fantasmagorique. Sans faire de bruit, il se glisse sur elle, se couche sur elle. Elle écarte les jambes, je ne vois plus que quatre jambes et des fesses bien blanches qui se soulèvent et redescendent en cadence. Il la pénètre. Sa respiration saccélère, ils sembrassent, je vois leur langue se mêler, se lécher, leurs lèvres se souder. Jimagine le sexe bien à fond entre ses cuisses écartées, mais je ne vois que les fesses blanches et leur mouvement régulier.
Ils sont maintenant côte à côte, apaisés. Pas pour longtemps, la bite de Jean se redresse. Martine se tourne vers lui, je regarde son dos, ses fesses. Jean la détaille nue, la découvre, sa poitrine, sa toison, ce sexe quil vient dhonorer. La main de Martine se dirige vers Jean, vers son ventre, elle touche sa tige, la saisit, commence un lent va-et-vient. Jean est aux anges. Martine se rapproche, pose quelques baisers sur son épaule, son torse, ses seins, son ventre, son nombril, elle se soulève un peu, dépose un baiser sur le bout du gland, écarte ses lèvres et laisse le sexe senfoncer, prendre possession de sa bouche. Elle commence à le sucer consciencieusement. Ses mains ne restent pas inactives, elles massent les bourses, les caressent, un doigt se perd entre les fesses
Elle se recule pour contempler son uvre, satisfaite de voir ce pieu bien dressé, dur, le gland prêt à exploser grâce à elle. Juste parce quelle aime ça, elle le reprend en bouche quelques instants.
Martine se soulève et vient sasseoir à califourchon sur Jean, ses mains sappuient sur son torse. Elle sassoit sur son sexe étendu sur son ventre. Ses lèvres enveloppent le membre de chair tendu, son bassin va davant en arrière. Je me demande si elle le branle avec sa vulve ou si elle se masturbe sur son pénis ? À chaque passage, le gland écarte un peu plus ses lèvres, le pénis senfonce peu à peu, sa vulve le recouvre entièrement, il est désormais complètement caché.
Elle est cambrée, Jean lui caresse les seins.
Il met ses mains sur ses hanches, la soulève un peu, elle aide le mouvement en poussant sur ses jambes, le sexe de Jean se redresse, le gland face à son entrée sacrée, lentement elle se rassoit, le gland entre en elle. Je le vois la pénétrer, centimètre par centimètre.
Jean halète, il ne tient plus. Son corps se cabre, il jouit en elle. Le corps de Martine se raidit, sa tête bascule en arrière, ses seins pointent vers le ciel, un long cri informe tout le camp
Elle est belle dans la pénombre. Le désir lui va si bien.
Repos, silence. Elle se laisse glisser au sol, se retourne et vient se blottir dans mes bras
»
Le lendemain, au réveil, elle est allongée sur son sac de couchage, le pyjama encore ouvert, un sein découvert. Son pantalon est à moitié baissé. Je lui susurre « Attention, il pourrait te voir
», un peu gênée, elle remonte rapidement son pantalon, lui se retourne, encore endormi, mais il a vu ses fesses, se redressant il regarde ses seins à la dérobée, pendant quelle referme prestement sa chemise.
Les vacances continuent, la plage, les balades, les petits restos de fruits de mer
Enfin, les vacances touchent à leur fin, les amis repartent, nous restons quelques jours tous les deux, juste tous les deux en amoureux.
Le soir, petite promenade sentimentale en bord de mer, on sarrête régulièrement pour sembrasser, quelques caresses furtives, pressés de se retrouver dans lintimité de notre tente. Avant, je passe aux toilettes. Au retour, Martine est allongée nue sur son sac de couchage, face à moi, mon premier regard pour ses jambes, son sexe. Je viens à genoux entre ses cuisses quelle écarte, pose mes lèvres sur ses lèvres, elle sabandonne à ma caresse intime. Ma langue simmisce entre ses lèvres, découvre les petites lèvres, prend possession du sexe qui soffre à moi. Cest rose, doux, humide, ma langue sintroduit en elle, explore les recoins de son puits damour, mon nez frotte son clitoris, ses mains maintiennent ma tête plaquée contre elle, elle fait durer le plaisir qui la gagne, son bassin vient à ma rencontre, un orgasme foudroyant la submerge, elle crie, son corps se détend. Je nai pas joui, je me relève satisfait du plaisir que je viens de donner. Allongée côte à côte, Martine tend la main et commence une lente masturbation, elle me caresse, samuse de ma réaction
Mettant ma main derrière sa tête, je la pousse un peu en avant, lui indiquant la caresse que jespère. Elle résiste, ce nest pas encore aujourdhui que je connaîtrais la douceur de sa bouche, de ses lèvres sur mon sexe. Je ninsiste pas, il ne faut pas forcer, elle le fera plus tard de façon naturelle, dès quelle en éprouvera le désir. Lattente aussi est un plaisir.
Martine sassoit sur moi à califourchon, ses mains sappuient sur mon torse. Elle sassoit sur mon sexe étendu sur son ventre. Ses lèvres enveloppent mon membre de chair tendue, son bassin va davant en arrière. Est-ce quelle me branle avec sa vulve ou se masturbe-t-elle sur mon pénis ? À chaque passage, mon gland écarte un peu plus ses lèvres, mon pénis senfonce peu à peu, sa vulve le recouvre entièrement, il est désormais complètement caché.
Elle est cambrée, je caresse ses seins.
Je mets mes mains sur ses hanches, la soulève un peu, elle aide le mouvement en poussant sur ses jambes, mon sexe se redresse, le gland face à son entrée sacrée, lentement elle se rassoit, mon gland entre en elle. Je me sens la pénétrer, centimètre par centimètre. Ses lèvres touchent enfin mon pubis, je suis à fond. Elle recommence un long va-et-vient de son bassin, en avant, en arrière, infatigable.
Son fourreau se resserre sur ma queue, je ne tiens plus. Mon corps se cabre, je jouis en elle. Le corps de Martine se raidit, sa tête bascule en arrière, ses seins pointent vers le ciel, un long cri étouffé pour ne pas réveiller tout le camp
Elle est belle dans la pénombre. Le désir lui va si bien.
Repos, silence. Elle vient se blottir dans mes bras
Nous décidons daller prendre une douche.
Le bloc sanitaire est à quelques pas. Personne, nous serons tranquilles. Nous allons dans la grande douche prévue pour une dizaine de personnes.
Sous la douche, Martine se purifie, la tête en arrière, leau inonde son visage, ruisselle sur son corps. Pour se laver, elle passe ses mains sur ses bras, ses épaules, ses seins, comme des caresses. Elle veut se débarrasser de tout le sperme qui coule sur ses jambes, une main entre les cuisses, elle frotte sa vulve, pénètre un doigt ; une main sur ses fesses, entre ses fesses. Elle se lave. Fait-elle les mêmes gestes lorsque seule elle doit se donner du plaisir ?
Ces gestes, normaux pour une femme sous la douche, sensuels pour lhomme qui la regarde. Ma réaction ne tarde pas
- Tu as des ressources ce soir.
Je prends ça pour un compliment, mon orgueil de mâle. Je la prends dans mes bras, lembrasse, pressant ma bite dressée contre son ventre. Je sens ses seins contre mon torse.
Du bruit
du monde arrive. Nous restons collés lun à lautre.
Un couple entre, nus, aussi surpris que nous de trouver quelquun. Elle, grande, blonde, vraie blonde, cheveux mi-longs, mince, jolis seins ronds, la peau fine, juste quelques petites veines bleues qui font ressortir leur blancheur, toison dor bouclée, légère, laissant deviner une fente dont les lèvres sont plus gonflées que celles de Martine. Lui plutôt beau gosse, grand, sportif, plus que moi ? Non pas possible. Petites fesses musclées qui doivent bien plaire aux dames. Sexe bof ! une bite quoi.
Ils se mettent à lautre bout du local douche, gênés de nous avoir dérangés, mais comme nous le regard attiré. Lui sans problème nous fait face, elle se cache un peu, se tournant vers le mur.
Martine aussi est restée de dos. Serrée contre moi, on la verra moins, moi un peu gêné dêtre vu dans le plus simple appareil, essayant de ne rien laisser paraître.
On se douche chacun de son côté, jetant de temps à autre un regard vers les autres. Je cherche à ce que lhomme puisse voir Martine, ses fesses, ses seins, je la tourne un peu
son sexe.
Leau nous enveloppe, je ferme les yeux.
« Martine membrasse, elle tourne le dos au couple. Je tourne sur moi-même en lentraînant, pour lexposer à leur regard.
La déesse blonde nous sourit, vient vers nous. Je ne peux détacher mes yeux de sa poitrine, de son duvet dor. Elle est là. Elle dépose un baiser sur les lèvres de Martine, la prend par la main et la mène devant son homme. De dos, je regarde séloigner deux jolies paires de fesses.
La blonde caresse Martine, son dos, sa poitrine, lui effleure les lèvres, lembrasse. Ses mains parcourent son corps, ses seins, son ventre, ses fesses, son sexe. Martine nest pas en reste, timidement dabord, puis de plus en plus sûre delle, ses mains prennent possession de ce corps qui soffre à elle. Elles se caressent mutuellement, caresses intimes, entre les fesses, entre les jambes, le temps ne compte plus. Un orgasme les secoue à lunisson.
La blonde tourne alors Martine vers son homme, belle offrande.
Il sapproche, lembrasse, la caresse, le dos, les seins, tend une main vers son entrejambe, un doigt la pénètre. Martine se colle à lui, écrase ses seins contre sa poitrine, elle sent son sexe dur contre son ventre. Elle glisse le long de son nouveau partenaire, pour bien le prendre dans sa bouche, ses mains sagrippent sur ses fesses.
La belle blonde vient me chercher. Je regarde, fasciné, ce sexe qui senfonce dans la bouche de Martine. Cet homme que nous ne connaissions pas une heure avant tient sa tête et continue son long va-et-vient entre ses lèvres. Sa tige de chair palpite entre ses lèvres. Martine fait coulisser ses lèvres jusquau pubis. Lhomme semble goûter cette fellation experte, son sexe gonfle, prêt à éclater. Martine sent quil vient, elle essaie de se retirer mais deux mains lui maintiennent la tête en place, les miennes ; lhomme décharge, elle reçoit un, des jets, il se répand dans sa bouche. Il se retire, elle avale comme elle peut, se relève, me regarde, un filet blanc au coin des lèvres.
La blonde me rappelle à son bon souvenir, elle moffre ses lèvres. Je menhardis, lui caresse la poitrine, ses seins sont magnifiques. Elle me caresse le torse et descend le long de mon corps, mon sexe est tendu, elle le prend dans sa bouche et moffre la même caresse que Martine a offerte à son homme.
Martine pose ses mains sur mon épaule. Elle regarde mon sexe aspiré par cette bouche gourmande.
Lhomme est dans son dos, la bite bien dressée, Martine le sent contre ses fesses. Elle se cambre, écarte un peu les jambes. Je devine le membre qui la pénètre, qui senfonce en elle. Elle me sourit de bonheur. Son corps prend alors conscience quun membre lui remplit la chatte, un homme est en elle, mais quel homme ? Ce nest pas moi, peu importe, elle sait que ce membre va la mener au plaisir.
Lhomme accélère, Martine respire plus rapidement, sa poitrine se soulève, mon sexe gonflé toujours emprisonné dans la bouche de ma déesse blonde. Un cri, Martine, la blonde ? Nous jouissons tous les quatre ensembles. Nos muscles se relâchent, je prends Martine dans les bras, la serre fort contre moi, ses seins encore excités contre ma poitrine, je ferme les yeux pour goûter ce moment magique. »
Jouvre les yeux pour regarder Martine, toujours contre moi, nous sommes seuls, le couple est parti depuis longtemps. Martine me sourit, se détache un peu de moi, mettant en lumière une large tache blanche de son ventre jusquà ses seins. Jai joui contre son ventre.
- Eh bien tu en avais envie
elle ta fait de leffet.
Nous rions.
- On va devoir reprendre une douche.
De retour sous la tente, Martine se couche sur son sac de couchage, sans pyjama. Je la serre dans mes bras, nous nous endormons, enlacés lun à lautre.
Le lendemain, nous promenant dans le camp, nous croisons le couple de la veille. Ils nous font un petit sourire complice.
Je me demande si ce soir nous nallons pas retourner prendre une douche
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